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Liturgie du jour et messes de la semaine

 


HORAIRES DES MESSES EN SEMAINE

Lundi: 9h00
Du mardi au vendredi : 12h15
Samedi : 18h30 (messe anticipée du dimanche)
Dimanche : 10h30

 

LAUDES  MATINALES

Du lundi au vendredi : à 8h00
Samedi : à 8h30

 

ADORATION DU SAINT SACREMENT

Tous les vendredis après la messe: de 12h45 à 13h15

 

ACCUEIL DES PRÊTRES ET CONFESSIONS

Mardi, jeudi et vendredi : de 17h00 à 19h00
Samedi : de 17h30 à 18h30

 

ACCUEIL PAR UN LAÏC DANS L’ÉGLISE

Tous les mardis, mercredis, jeudis et vendredis de 10h à 12h

 

SECRÉTARIAT

(3, Place de Joinville)
Tous les lundis, mardis, jeudis et vendredis : de 9h à 11h et de 13h30 à 18h00

Eglise ouverte du lundi au vendredi : de 8h à 19h
Samedi : de 8h30 à 19h30
Dimanche : de 9h à 19h


Pour en savoir plus sur les couleurs liturgiques :
https://www.sjsc.fr/les-couleurs-liturgiques/

La liturgie d’aujourd’hui est :

  • Première lecture : « Moi, Tobith, j’ai marché dans les voies de la vérité » (Tb 1, 3 ; 2, 1b- 8)

    Lecture du livre de Tobie Moi, Tobith, j’ai marché dans les voies de la vérité et j’ai fait ce qui est juste tous les jours de ma vie ; j’ai fait beaucoup d’aumônes à mes frères et aux gens de ma nation qui avaient été emmenés captifs avec moi au pays des Assyriens, à Ninive. Lors de notre fête de la Pentecôte, qui est la sainte fête des Semaines, on me prépara un bon repas et je m’étendis pour le prendre. On plaça devant moi une table et on me servit quantité de petits plats. Alors je dis à mon fils Tobie : « Va, mon enfant, essaie de trouver parmi nos frères déportés à Ninive un pauvre qui se souvienne de Dieu de tout son cœur ; amène-le pour qu’il partage mon repas. Moi, mon enfant, j’attendrai que tu sois de retour. » Tobie partit chercher un pauvre parmi nos frères. À son retour, il dit : « Père ! – Qu’y a- t-il, mon enfant ? – Père, quelqu’un de notre nation a été assassiné ; il a été jeté sur la place publique, il vient d’y être étranglé. » Laissant là mon repas avant même d’y avoir touché, je me précipitai, j’enlevai de la place le cadavre que je déposai dans une dépendance en attendant le coucher du soleil pour l’enterrer. À mon retour, je pris un bain et je mangeai mon pain dans le deuil, en me rappelant la parole que le prophète Amos avait dite sur Béthel : « Vos fêtes se changeront en deuil, et tous vos chants en lamentation. » Et je me mis à pleurer. Puis, quand le soleil fut couché, je partis creuser une tombe pour enterrer le mort. Mes voisins se moquaient de moi : « N’a-t-il donc plus peur ? disaient- ils. On l’a déjà recherché pour le tuer à cause de cette manière d’agir, et il a dû s’enfuir. Et voilà qu’il recommence à enterrer les morts ! » – Parole du Seigneur.

  • Psaume (111 (112), 1-2, 3-4, 5-6)

    Refrain psalmique : (111, 1a) Heureux qui craint le Seigneur. ou : Alléluia ! Heureux qui craint le Seigneur, qui aime entièrement sa volonté ! Sa lignée sera puissante sur la terre ; la race des justes est bénie. Les richesses affluent dans sa maison : à jamais se maintiendra sa justice. Lumière des cœurs droits, il s’est levé dans les ténèbres, homme de justice, de tendresse et de pitié. L’homme de bien a pitié, il partage ; il mène ses affaires avec droiture. Cet homme jamais ne tombera ; toujours on fera mémoire du juste.

  • Évangile : « Ils se saisirent du fils bien-aimé, le tuèrent, et le jetèrent hors de la vigne » (Mc 12, 1-12)

    Acclamation : (cf. Ap 1, 5ab) Alléluia. Alléluia. Jésus Christ, témoin fidèle, premier-né d’entre les morts, tu nous aimes, et par ton sang tu nous délivres du péché.Alléluia. Évangile de Jésus Christ selon saint Marc En ce temps-là, Jésus se mit à parler en paraboles aux chefs des prêtres, aux scribes et aux anciens : « Un homme planta une vigne, il l’entoura d’une clôture, y creusa un pressoir et y bâtit une tour de garde. Puis il loua cette vigne à des vignerons, et partit en voyage. Le moment venu, il envoya un serviteur auprès des vignerons pour se faire remettre par eux ce qui lui revenait des fruits de la vigne. Mais les vignerons se saisirent du serviteur, le frappèrent, et le renvoyèrent les mains vides. De nouveau, il leur envoya un autre serviteur ; et celui-là, ils l’assommèrent et l’humilièrent. Il en envoya encore un autre, et celui-là, ils le tuèrent ; puis beaucoup d’autres serviteurs : ils frappèrent les uns et tuèrent les autres. Il lui restait encore quelqu’un : son fils bien-aimé. Il l’envoya vers eux en dernier, en se disant : “Ils respecteront mon fils.” Mais ces vignerons- là se dirent entre eux : “Voici l’héritier : allons-y ! tuons-le, et l’héritage va être à nous !” Ils se saisirent de lui, le tuèrent, et le jetèrent hors de la vigne. Que fera le maître de la vigne ? Il viendra, fera périr les vignerons, et donnera la vigne à d’autres. N’avez-vous pas lu ce passage de l’Écriture ?La pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs est devenue la pierre d’angle : c’est là l’œuvre du Seigneur, la merveille devant nos yeux ! » Les chefs du peuple cherchaient à arrêter Jésus, mais ils eurent peur de la foule. – Ils avaient bien compris en effet qu’il avait dit la parabole à leur intention. Ils le laissèrent donc et s’en allèrent. – Acclamons la Parole de Dieu.

Source : www.aelf.org

Messe d’installation du Père Stanislas Stawicki

Messe d’installation du Père Stanislas Stawicki par Mgr Thibault Verny, dimanche 19 septembre 2021.

Un curé, à quoi ça sert ? Les rites de la messe de son installation dans une paroisse cherchent à mettre en évidence la mission qui est la sienne. Il est essentiellement au service de la communauté paroissiale. Voilà pourquoi la paroisse qui l’accueille est symboliquement présentée au nouveau curé tout au début de la célébration.

Ensuite, avant la proclamation de l’Évangile, I évêque bénit le curé qui va lire le passage évangélique du jour. C’est ainsi que l’évêque Iui confie une mission d’enseignement . Cette mission s’appuie sur la foi de l’Église catholique que le curé va professer seul au moment du credo avant d’inviter l’assemblée à le faire à son tour.
Lors de l’offertoire, c’est la mission de sanctification confiée aux prêtres qui est mise en valeur : en présidant l’Eucharistie, ceux-ci sont les instruments de la sanctification du Peuple chrétien. Et c’est dans l’Eucharistie que convergent tous les sacrements.
Enfin, au moment de la communion et du geste de paix, un rite vient souligner la mission de curé, qui participe à la charge de son évêque à qui le Christ confie son propre troupeau. Il reçoit une mission de rassemblement et de communion dans la paix et l’unité. Dans cette mission, le prêtre tient toute son autorité de l’attitude de serviteur qui l’habite.

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Jeune fille, je te le dis, lève toi !

Dieu est puissance de vie et non puissance de mort. Il rétablit l’homme dans sa nature première qui est d’être créé à l’image de Dieu. La mort n’a plus d’emprise sur le baptisé.

Lecture du jour :

L’évangile de ce 13ème dimanche du Temps ordinaire nous propose deux miracles de Jésus. De façon inhabituelle, un récit, celui de la femme qui avait des pertes de sang, est inséré à l’intérieur du miracle de la résurrection de la fille de Jaïre. Pourquoi cette insertion ? Quel est le miracle le plus important ? Comment lire les deux récits ensemble ?

A priori, ressusciter un mort semble bien plus important que guérir des pertes de sang. Pourtant, Marc, en mettant au centre le récit de la guérison de cette femme aux pertes de sang, cherche à nous dire quelque chose de la mort et de la résurrection.

Cet évangile nous parle des deux morts. Continuer la lecture de Jeune fille, je te le dis, lève toi !