HORAIRES DES MESSES EN SEMAINE
Lundi: 9h00
Du mardi au vendredi : 12h15
Samedi : 18h30 (messe anticipée du dimanche)
Dimanche : 10h30
LAUDES MATINALES
Du lundi au vendredi : à 8h00
Samedi : à 8h30
ADORATION DU SAINT SACREMENT
Tous les vendredis après la messe: de 12h45 à 13h15
ACCUEIL DES PRÊTRES ET CONFESSIONS
Mardi, jeudi et vendredi : de 17h00 à 19h00
Samedi : de 17h30 à 18h30
ACCUEIL PAR UN LAÏC DANS L’ÉGLISE
Tous les mardis, mercredis, jeudis et vendredis de 10h à 12h
SECRÉTARIAT
(3, Place de Joinville)
Du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 18h
Eglise ouverte du lundi au vendredi : de 8h à 19h
Samedi : de 8h30 à 19h30
Dimanche : de 9h à 19h
Pour en savoir plus sur les couleurs liturgiques :
https://www.sjsc.fr/les-couleurs-liturgiques/
La liturgie d’aujourd’hui est :
- Première lecture : « Je me suis fait tout à tous pour en sauver à tout prix quelques-uns » (1 Co 9, 16-19.22-27)
Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens Frères, annoncer l’Évangile, ce n’est pas là pour moi un motif de fierté, c’est une nécessité qui s’impose à moi. Malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile ! Certes, si je le fais de moi-même, je mérite une récompense. Mais je ne le fais pas de moi-même, c’est une mission qui m’est confiée. Alors quel est mon mérite ? C’est d'annoncer l'Évangile sans rechercher aucun avantage matériel, et sans faire valoir mes droits de prédicateur de l'Évangile. Oui, libre à l’égard de tous, je me suis fait l’esclave de tous afin d’en gagner le plus grand nombre possible. Avec les faibles, j’ai été faible, pour gagner les faibles. Je me suis fait tout à tous pour en sauver à tout prix quelques-uns. Et tout cela, je le fais à cause de l’Évangile, pour y avoir part, moi aussi. Vous savez bien que, dans le stade, tous les coureurs participent à la course, mais un seul reçoit le prix. Alors, vous, courez de manière à l’emporter. Tous les athlètes à l’entraînement s’imposent une discipline sévère ; ils le font pour recevoir une couronne de laurier qui va se faner, et nous, pour une couronne qui ne se fane pas. Moi, si je cours, ce n’est pas sans fixer le but ; si je fais de la lutte, ce n’est pas en frappant dans le vide. Mais je traite durement mon corps, j’en fais mon esclave, pour éviter qu’après avoir proclamé l’Évangile à d’autres, je sois moi-même disqualifié. – Parole du Seigneur.
- Psaume (Ps 83 (84), 3, 4, 5-6, 12)
Refrain psalmique : (Ps 83, 2) De quel amour sont aimées tes demeures, Seigneur de l’univers ! Mon âme s’épuise à désirer les parvis du Seigneur ; mon cœur et ma chair sont un cri vers le Dieu vivant ! L’oiseau lui-même s’est trouvé une maison, et l’hirondelle, un nid pour abriter sa couvée : tes autels, Seigneur de l’univers, mon Roi et mon Dieu ! Heureux les habitants de ta maison : ils pourront te chanter encore ! Heureux les hommes dont tu es la force : des chemins s’ouvrent dans leur cœur ! Le Seigneur Dieu est un soleil, il est un bouclier ; le Seigneur donne la grâce, il donne la gloire. Jamais il ne refuse le bonheur à ceux qui vont sans reproche.
- Évangile : « Un aveugle peut-il guider un autre aveugle ? » (Lc 6, 39-42)
Acclamation : (cf. Jn 17, 17ba) Alléluia. Alléluia. Ta parole, Seigneur, est vérité ; dans cette vérité, sanctifie-nous.Alléluia. Évangile de Jésus Christ selon saint Luc En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples en parabole : « Un aveugle peut-il guider un autre aveugle ? Ne vont-ils pas tomber tous les deux dans un trou ? Le disciple n’est pas au-dessus du maître ; mais une fois bien formé, chacun sera comme son maître. Qu’as-tu à regarder la paille dans l’œil de ton frère, alors que la poutre qui est dans ton œil à toi, tu ne la remarques pas ? Comment peux-tu dire à ton frère : “Frère, laisse-moi enlever la paille qui est dans ton œil”, alors que toi-même ne vois pas la poutre qui est dans le tien ? Hypocrite ! Enlève d’abord la poutre de ton œil ; alors tu verras clair pour enlever la paille qui est dans l’œil de ton frère. » – Acclamons la Parole de Dieu.
Source : www.aelf.org
Au sujet de la prière du Pape François :
à “Ne pleure pas sur ce que tu as perdu » , ne serait-il pas préférable de dire : “pleure plutôt sur ce que tu n’as pas encore gagné. » D’autres s’y emploient, et ça m’a tout l’air de fonctionner pas mal…